De la Norvège à Monaco

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Rencontrez Sander Saxegaard Helseth, actuel étudiant norvégien du MSc en finance.

Avant de rejoindre l’IUM, Sander est diplômé de la BI Norwegian Business School et a travaillé à temps partiel pendant trois ans chez Svea Norge, un groupe de sociétés financières présent dans plusieurs pays européens.

1) Pourquoi avez-vous choisi d’étudier à l’étranger ?

La finance est un secteur international, et je pense qu’il est utile d’avoir une perspective plus large pour comprendre ce qui se passe. D’autant plus que la finance est un secteur très dynamique et agile, et qu’il est impossible de s’asseoir et d’attendre des informations, il faut donc les rechercher activement. C’est aussi un excellent moyen de vous développer en tant que personne et de remettre en question votre zone de confort. Vous rencontrerez aussi beaucoup de personnes intéressantes, issues de milieux et de cultures différents, et obtiendrez de nouvelles perspectives.

2) Selon vous, quels sont les principaux enseignements à tirer du programme du MSc in Finance ?

La première chose que je retiens du programme, et peut-être la plus importante, est l’approche pratique. Nous n’apprenons pas seulement la théorie, mais nous sommes obligés d’appliquer ce que nous avons appris dans des cas concrets. Cela m’a donné la confiance nécessaire pour entrer dans un secteur très exigeant dès la sortie de l’université. J’ai également eu la chance de représenter l’IUM lors du CFA Research Challenge de cette année, où mes connaissances ont vraiment été mises à l’épreuve. Deuxièmement, l’environnement de classe compact et dynamique. En étant sélective, l’IUM s’assure d’avoir des étudiants et des professeurs de grande qualité, de sorte qu’il y aura toujours des discussions enrichissantes dans la classe. J’ai également pu mettre en pratique les importantes compétences générales requises dans la plupart des domaines de la finance.

3) Quelles sont les compétences que vous avez acquises pendant vos études de bachelor à BI qui vous sont utiles pour vos études de master actuelles ?

Mon baccalauréat en finance de la BI Business School m’a bien préparé à la tâche difficile que j’ai rencontrée à l’IUM. L’approche très pratique de l’IUM a complété mes compétences techniques déjà acquises à BI, ce qui a rendu cette expérience encore meilleure. Il était également utile d’avoir déjà une certaine expérience des logiciels comme Bloomberg et Excel avant de commencer le master.

4) Quelle spécialisation avez-vous choisie ? Que pouvez-vous en dire jusqu’à présent ?

J’ai choisi la filière Private Equity & Hedge Fund. C’est un moyen fantastique d’apprendre les domaines les plus intéressants de la finance auprès de professeurs qui ont pratiqué – ou pratiquent actuellement – ces sujets dans de nombreux cas. Sur un marché du travail extrêmement compétitif, il faut avoir un avantage, et je crois vraiment que cette spécialisation me donnera un avantage concurrentiel lorsque j’entrerai sur le marché du travail.

5) Quel état d’esprit est nécessaire pour réussir dans ce programme ?

Pour réussir dans ce programme, vous devez être dévoué, curieux et prêt à travailler dur. L’IUM vous permet de réussir, mais vous devez vous en saisir et en tirer le meilleur parti. Il n’y a pas de repas gratuit !

6) En général, qu’est-ce qui vous pousse à travailler pour atteindre vos objectifs ?

L’un de mes principaux moteurs pour atteindre mes objectifs est la compétition, même si c’est une compétition contre moi-même. Il ne s’agit pas toujours d’être meilleur que les autres, mais de définir clairement ses objectifs et de récompenser le succès. Il est également utile d’être conscient du suivi des progrès réalisés, car cela vous donne confiance et vous permet de mieux vous concentrer sur votre objectif.

7) Quelle est la prochaine étape de votre liste de choses à faire ?

Je veux passer le permis de parachutisme pour pouvoir sauter seul. J’ai déjà fait du parachutisme en tandem et des sauts à l’élastique, et j’adore l’adrénaline que cela me procure. Mais avant cela, je vais me concentrer sur ma progression professionnelle.

8) Quel est le meilleur conseil d’affaires que vous ayez jamais reçu ?

“N’attendez pas de voir ce que font les autres. Au moment où vous les suivez, il est probablement trop tard.” Cela s’applique à divers domaines : l’investissement, l’éducation, et bien d’autres encore.

9) Comment vous voyez-vous dans 5 ans ?

Dans cinq ans, je créerai de la valeur en tant que professionnel de l’investissement ou conseiller de confiance, si possible dans une société de capital-investissement, une banque d’investissement ou une société immobilière. Mon regard est principalement tourné vers la Norvège, mais je suis tout à fait disposé à explorer les possibilités de carrière à l’étranger également.

10) Quels conseils donneriez-vous à un étudiant norvégien en licence qui envisage le MSc in Finance de l’IUM ?

En combinant un BSc norvégien et un MSc monégasque, vous acquerrez un profil solide et précieux et susciterez l’intérêt des employeurs tant en Norvège qu’à l’étranger. L’IUM veille également à ce que vous soyez prêt à saisir toute opportunité de stage ou d’emploi et à faciliter la transition entre la salle de classe et le bureau. Enfin, saisissez l’occasion d’étudier à l’étranger tant que vous le pouvez encore. Vous regretterez d’avoir renoncé à une aventure aussi fantastique.

Mis à jour le 2 juin 2022